Deux jeunes filles qui allaient fêter leurs vingt-deux ans, mais qui mirent l’amour de leur pays et de la liberté à la première place dans leur vie, là justement où elles mettaient Dieu… Ainsi commence cette histoire qui veut rendre un vibrant hommage à Agnès de La Barre de Nanteuil, Sophie Scholl et bien d’autres jeunes qui firent le choix de mourir pour leur pays et pour leur foi, de chaque côté de la frontière. Ils avaient 16, 18 ou 22 ans. Ils attachaient moins de prix à leur propre vie qu’à des mots comme « Patrie », « honneur » et « liberté ». Après la défaite de 1940, ils ont pris les armes pour continuer le combat, chacun à sa manière. Pour certains, ce fut en rejoignant l’armée clandestine à Londres ou en entrant dans la Résistance , pour d’autres, par la presse , par le transport de messages ou de colis , par le sauvetage de prisonniers ou de fugitifs , par le sabotage de points stratégiques , par les renseignements.